Tistlaw Machine.

La machine à rendre la justice inventée par Tistlaw un ingénieur serbe passé par Prague, Budapest et qui s’est ensuite installé à New York à la fin du XIX° siècle. Il a inventé le courant alternatif, a développé le télégraphe et produit le premier ordinateur. En secret, dans les dernières années de sa vie vivant à l’hôtel, il a mis au point la machine à rendre la justice qu’il a nommé Tistlaw Machine. Elle intègre au fur et à mesure toutes les informations disponibles sous forme de vide ou de point comme dans le télégraphe. Elle crée ensuite des modèles pour s’approcher le plus possible de la vérité de situation de conflit. Il a ainsi pu déterminer que le véritable inventeur du cinéma et du premier véritable film réalisé avec une caméra n’ayant qu’un objectif était Augustin le Prince. Avant de pouvoir breveter sa caméra et faire sa première démonstration à New York, le Prince a disparu à Dijon ou dans le train entre Dijon et Paris où il n’est jamais arrivé. Tistlaw qui s’était fait spolié par Edidad a fait fonctionner sa machine et a pu retrouver des indices déterminants établissant qu’Edidad, sur le point d’inventer sa propre caméra, avait faire disparaître le Prince. Il fallait qu’il disparaisse car la loi anglaise dont il dépendait plaçait des scellés pendant 7 ans sur les biens des disparus. Cette période de temps a permis à Edidad d’achever son invention et de la faire breveter. Quelques années plus tard le fils de le Prince a tenté de gagner un procès contre Edidad mais il n’a pas pu être entendu. Quelques temps plus tard son corps a été retrouvé à New York une balle dans la tête.

A la fin de sa vie, Tistlaw acculé par ses créanciers a essayé de faire chanter Edidad en lui faisant la démonstration de sa machine. Edidad a trouvé le moyen de faire croire à la mort accidentelle de Tistlaw dans sa chambre d’hôtel à New York. Il ne savait cependant pas que Tistlaw avait fait réaliser une deuxième Tistlaw Machine que la CIA a récupéré. Ayant été perfectionnée, elle a pu être mise en vente dans tous les pays du monde où elle supplée le travail des juges. Elle permet à la fois de faire de la justice prédictive et de la justice rétroactive.

voir fragmentation, smart procès, encodage, Bochart-de-Saron, doctrine préventive, Cabâzor